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19 Fév 2021

CAMPAGNE CAJOU 2022: le Kg de la noix de cajou fixé à 305 Fcfa

Le gouvernement ivoirien a fixé mercredi à 305 Fcfa le prix du kilogramme de la noix de cajou, maintenant le même coût que la campagne précédente, a indiqué son porte-parole Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres.

Le Conseil a fixé l’ouverture de la campagne cajou pour l’année 2022 au 4 février prochain et a arrêté, sur proposition du Conseil coton-anacarde, le prix planché obligatoire bord champ à 305 Fcfa le Kg, a indiqué M. Amadou Coulibaly.

Les autres prix planchés obligatoires sont respectivement 330 Fcfa le kilogramme au magasin intérieur, 359 Fcfa le kilogramme au magasin usine et 389 Fcfa le kilogramme au magasin portuaire, a-t-il ajouté.

Pour la campagne 2022, une production de 1,40 million de tonnes de noix de cajou est attendue, soit le quart de la production mondiale, a fait savoir le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly.

Selon le bilan de la campagne 2021, il ressort que la production nationale de noix de cajou a atteint 968.676 tonnes, soit une hausse de 14% par rapport à l’année 2020 qui avait enregistré une production de 848.700 tonnes.

Le Conseil Coton-anacarde note que le respect du prix minimum bord champ, fixé à 305 Fcfa, a permis une hausse de 14% des revenus des producteurs de l’anacarde, passant de 297 milliards Fcfa distribués dans la filière en 2020 à 339 milliards Fcfa en 2021.

La Côte d’Ivoire, en dépit de la pandémie de Covid-19, est devenu le premier pays transformateur de noix de cajou en Afrique et le troisième dans le monde en 2021 avec 136.854 tonnes transformées.

Le pays maintient toujours son rang de leader mondial au niveau de la production et de l’exportation avec 805.748 tonnes exportées. Ce qui témoigne du succès de sa politique de transformation de la noix de cajou.

AP/ls/APA

Source: Abidjan.Net

06 Mar 2020

SIA2020 – Conférence sur l’agriculture ivoirienne face aux défis de la modernisation

Les contours du nouveau visage de l’agriculture en Côte d’ivoire ont été présentés ce mercredi 26 février dans une salle comble de l’Espace 2000 Hall 1 du Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris, en France.

Le ministre ivoirien, accompagné des responsables de conseils de régulation des différentes filières (hévéa-palmier à huile, café, cacao, coton anacarde), des dirigeants des agences d’encadrement (FIRCA, ANADER, AFOR), ainsi que des représentants de coopératives de transformation de produits agricoles, s’est dit particulièrement fier d’animer cette conférence, vantant le réel pas franchi par son ministère quant à la mise en place de la modernisation de l’agriculture.

« La transformation structurelle du secteur agricole de la Côte d’Ivoire est en marche », a confié un de ses collaborateurs en conclusion de la présentation générale.

En appui de la présentation générale des avancées déjà réalisées et des prévisions de la Côte d’Ivoire, pays-leader en Afrique de l’Ouest dans le domaine agricole, kobenan Kouassi Adjoumani a évoqué les conditions agro-climatiques particulièrement favorables dont jouit ce pays au développement d’une agriculture diversifiée. Moussa Dosso, ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques a joint sa voix en symbiose avec son homologue.

Ces atouts naturels représentent des avantages permettant de récolter des cultures vivrières et des cultures d’exportation telles que le café, le cacao, le coton, l’hévéa, la canne à sucre, les oléagineux, une palette variée de fruits, ananas, banane, mangue, noix de coco, pomme de cajou, agrumes et bien d’autres.

Parlant du domaine des cultures vivrières, le ministre a expliqué que la Côte d’Ivoire produit le maïs, le riz, l’igname, le manioc, la banane plantain, du mil, du sorgho, du fonio, de l’arachide, de la patate douce, du taro, etc.

Il a rappelé que depuis 2012 la Côte d’Ivoire a mis en place un programme national d’investissement agricole (PNIA) prévu pour redynamiser ce secteur clé de l’économie. Désormais, le pays affiche une volonté marquée de faire de l’agriculture le poids lourd de l’économie nationale en relevant le défi de la transformation industrielle locale.

De ce fait, il appelle tous les investisseurs désireux de « venir investir en Côte d’Ivoire, Terre agricole », en ouvrant vers l’entrepreneuriat agricole et la modernisation de l’agriculture. « Le succès de la Côte d’Ivoire repose sur l’agriculture », a-t-il insisté, invitant la diaspora ivoirienne d’être les ambassadeurs de leur pays d’origine et de leur agriculture.

Lors de la séance des questions-réponses, certains investisseurs dans la salle ont saisi l’occasion pour proposer leurs projets. C’est le cas de la Congolaise Edwige Yombi Sitou, directrice commerciale de EMS Négoces, portant un projet sur la mécanisation de la production du manioc.

A l’image du thème général du cinquante-septième SIA, “L’agriculture vous tend les bras”, tout au long du salon, les stands de la Côte d’Ivoire au Hall 5.2, proposent des animations et des dégustations pour mettre à l’honneur chacune des filières agricoles de leur pays.

@source : http://www.adiac-congo.com/content/salon-international-de-lagriculture-de-paris-conference-sur-lagriculture-ivoirienne-face-aux

10 Jan 2020

LANCEMENT DE LA 8E EDITION DES JOURNÉES NATIONALES DE VALORISATION DE L’AGRICULTURE A BOUAKE

Le Ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, a au nom de SEM le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly qu’il représentait procédé au lancement officiel de la 8è édition des Journées Nationales de Valorisation de l’Agriculture, JNVA, ce vendredi 10 janvier 2020 à Bouaké.

Le thème retenu cette année se définit comme suit : « Quelles stratégies pour une valorisation de nos matières premières par une transformation locale ? ». En ce sens, le Ministre Adjoumani a rassuré le monde agricole, au nom du Premier Ministre, en affirmant que « le bien-être des planteurs ivoiriens est un souci qui guide en permanence les choix et les décisions du Président de la République », ainsi, pour le Président de la République, « quel que soit l’impact sur le budget, le plus important c’est le bien-être des producteurs ».

En sa triple qualité de ministre de tutelle, de co-parrain et de représentant du haut-patron de la cérémonie, SEM le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, le Ministre Kobenan Kouassi Adjoumani a salué l’organisation de cette édition qui a vu la participation effective du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, co-président de la cérémonie, le Docteur Aka Aouélé, qui n’a pas manqué lui aussi de saluer l’excellente initiative prise par les promoteurs des JNVA.

Le Ministre Adjoumani a, par ailleurs, salué le choix du thème de cette édition qui colle avec l’actualité et partant de là, il a invité les acteurs du monde agricole « à privilégier, non seulement la transformation industrielle, mais aussi la petite transformation réalisée par les PME, PMI, PMEA, les coopératives ». Il a par ailleurs garanti l’appui institutionnel de son département ministériel à travers l’accompagnement qu’offre certains projets tels que « le PROPACOM-Ouest, le PADFA, qui ont des activités qui portent sur la transformation et la conservation de nos matières premières agricoles ».

Notons que 300 000 participants et visiteurs sont attendus dans le Gbêkê dans le cadre de ces journées. Et le pari de la mobilisation est généralement gagné par les organisateurs. Du moins au vue des éditions antérieures.

Il faut rappeler qu’à l’occasion de cette 8è édition des JNVA, le Ministre Adjoumani a annoncé la décoration du Ministre Aka Aouélé et de Madame Jenifer Cérès, promotrice des JNVA, dans l’ordre du mérite agricole. Cette décoration,  a-t-il indiqué, se fera très certainement dans les prochains jours, lors de la cérémonie de présentation de vœux de l’ensemble des collaborateurs et des partenaires du ministère dont il a la charge.

07 Jan 2020

VIETNAM : ETABLISSEMENT DES NORMES POUR LES IMPORTATIONS DE NOIX DE CAJOU

Avec les ministères de l’Agriculture et du développement rural et des Sciences et technologie, la Vinacas a mis en place un cadre juridique réglementant les critères nationaux de conformité de la noix de cajou importée au Vietnam (TCVN 12380-2018).

Ce cadre permettra d’examiner, d’évaluer et de classifier les matières premières importées ainsi que de créer un cadre juridique pour traiter les litiges commerciaux.

L’enjeu est de taille car le pays d’Asie a importé 1,6 million de tonnes (Mt) de noix de cajou non transformées pour une valeur de plus de $2 milliards en 2019. Une grande partie de ces noix de cajou provient d’Afrique.

Sur les 11 premiers mois de l’année 2019, sur un total de 1,524 Mt de noix de cajou brute importées au Vietnam, 32% vient de la Côte d’Ivoire, (en hausse de 29% par rapport à 2018), 14% du Ghana (+63%), 11% du Nigeria (+36%), 6% de Tanzanie

Le Vietnam, 1er exportateur d’amandes de cajou

Le Vietnam confirme à nouveau en 2019 sa place de premier exportateur mondial d’amandes de cajou avec 450 000 tonnes expédiées pour une valeur de plus de $3 milliards, selon le président de l’Association de la noix de cajou du Vietnam (Vinacas), Phan Van Công.

L’association ambitionne de porter ce chiffre à $4 milliards pour 2020 et pour ce faire veut accroître la qualité en édictant des critères nationaux de conformité de la noix de cajou brute importée.

Source : commodafrica

02 Août 2018

LE GOUVERNEMENT IVOIRIEN RÉAFFIRME SON SOUTIEN AU MONDE AGRICOLE

Abidjan, le 02 août 2018 – Lors de l’inauguration du siège du Fonds interprofessionnel pour la Recherche et le Conseil agricoles (FIRCA), le 02 août 2018 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a réaffirmé le soutien du gouvernement au monde agricole.

« La cérémonie de ce jour me donne l’occasion de réaffirmer l’objectif premier du gouvernement de relancer notre agriculture à travers le retour à l’investissement, notamment porté par le secteur privé et les réformes en vue d’accélérer la croissance structurelle de notre économie, notamment par l’industrialisation », a déclaré Amadou Gon Coulibaly.

Pour ce faire, a expliqué le Premier Ministre, « le gouvernement a adopté le Programme national d’investissement agricole (PNIA), qui est le volet agricole de notre Plan national de développement (PND) ».

Selon lui, le FIRCA est un exemple parfait d’outil professionnel né de la volonté de l’Etat d’accompagner les acteurs professionnels du secteur agricole, notamment, en termes de financement de la recherche, du conseil agricole et de la formation agricole.

Il a souligné qu’à travers cet outil, l’agriculture peut s’adapter aux évolutions scientifiques, technologiques et économiques et aux évolutions environnementales et sociales, pour faire face aux enjeux nationaux et aux contraintes extérieures.

Source: gouv.ci

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